19 / 08 / 2015

Intolérances ou incompatibilité ?

L’étude de la nutrition, sur le plan scientifique, ne date que d’une cinquantaine d’années. Qu’est-ce que 50 ans à l’échelle de l’humanité qui a plus de 6 millions d’années ? La science toute-puissante veut tout expliquer. Pourtant, elle fait de nombreuses erreurs, nous fait croire qu’elle a tout compris et qu’il faut se plier à ses règles. De nombreuses études sont menées pour démontrer la toxicité ou les bienfaits de tel ou tel aliment. Ce n’est pas si simple que cela. Les études ont démontré qu’elles n’étaient pas fiables, et qu’elles ne pouvaient pas être appliquées à tout le monde. Le premier à avoir mis en exergue ce vaste sujet des intolérances, est un américain nommé docteur Peter d’Adamo. Son livre « 4 régimes 4 groupes sanguins » a rencontré un grand succès et soulevé le problème des tolérances et des intolérances alimentaires. Seulement, même si son approche est très intéressante, il faudrait individualiser les analyses, sans chercher à les classer en groupes sanguins.


Pourquoi ne pouvons-nous pas tous manger la même chose ?

Nous sommes tous nés d’un père et d’une mère qui avaient leur propre capital génétique (système HLA) et qui nous ont transmis, non seulement une partie de leur système immunitaire, mais également, lors de l’accouchement, nous bénéficions de la flore intestinale de la mère dont va dépendre notre santé future. Chaque parent, mais aussi grands-parents ou aïeux, est issu d’une culture, d’un mode alimentaire, a rencontré des stress psychologiques plus ou moins résolus… Toutes ces informations sont transmises à l’enfant qui devra à son tour tenter de régler ce que ses antécédents n’ont pas pu régler. Sur 7 milliards d’individus, il y a 7 milliards d’empreintes digitales différentes, 7 milliards de microbiotes spécifiques, bref, nous sommes uniques !


Comment reconnaître ce qui nous fait du bien de ce qui altère notre santé ?

La biologie, la biochimie et toutes ces sciences modernes sont encore inefficaces à nous aider à résoudre nos problématiques immunitaires chroniques.

La médecine se cache derrière ses études et rend sa sentence à coups de pourcentages. Pourtant, on a bien remarqué, qu’en appliquant certains principes, dans certains cas, cela fonctionnait et dans d’autres c’était une catastrophe.


L'approche d'IgG alimentaires

On peut aujourd’hui, grâce à une prise de sang, voir quels sont les aliments pouvant altérer notre santé. En effet, outre les réactions digestives, ballonnements problèmes de transit, douleurs abdominales, ulcères, il y a également des réactions neurologiques, car les débris alimentaires que notre système immunitaire n’accepte pas, passent la barrière intestinale, rejoignent la circulation cérébrale et les lymphocytes B chargés de la production d’anticorps, se déploient pour les neutraliser. Si on n’écoute pas les premiers signes qui peuvent être des douleurs articulaires, de la fatigue, des troubles du sommeil, de l’anxiété ou autres, les maladies auto-immunes vont apparaître comme la polyarthrite rhumatoïde, les Thyroïdite d’Hashimoto, les problèmes liés au pancréas comme hypoglycémie, l’insulinorésistance et les différents types de diabète. On parle aujourd’hui de diabète de type 3 pour les maladies neurologiques comme la maladie de Parkinson ou d’Alzheimer.

L’approche des intolérances alimentaires s’est développée, car l’obésité, les diabètes, le cancer, les maladies cardio-vasculaires, les maladies neurologiques et les maladies auto-immunes ont explosé depuis 60 ans. Qu’est-ce qui a changé depuis 60 ans : notre alimentation !

Dois-je encore insister sur le fait que notre corps, notre biologie, notre ADN, nos gènes ont 6 millions d’années et que nous devons nous adapter en 50 ans à  un véritable tsunami de produits chimiques, d’aliments génétiquement modifiés, de produits frelatés, d’aliments de plus en plus dénaturés et appauvris en nutriments essentiels à cause de la maltraitance industrielle et culinaire.

Les aliments dont il faut en priorité se méfier sont : le blé, qui a subi de multiples hybridations, toutes les céréales en général, tous les produits laitiers courants, le soja et le sucre. Bref les aliments qui constituent aujourd’hui la base de l’alimentation de l’homme moderne.


Qu'est-ce qu'être en bonne santé ?

LA SANTÉ EST UN ÉTAT DE BIEN-ÊTRE PERMANENT, SUR LE PLAN PHYSIQUE, ÉMOTIONNEL ET MENTAL.

La santé peut être altérée par des causes externes (virus, bactéries, ondes wifi…) ou des causes internes (métaux lourds, émotions) et notamment les intolérances alimentaires responsables de nombreuses maladies.

Beaucoup d’entre nous en souffrent sans en être conscients. Les intolérances alimentaires seraient en effet responsables de nombreux symptômes : boulimie, fatigue chronique, dépression,  migraines, eczéma,  surpoids,  insomnies, constipation, ballonnements, diarrhée, allergies… .

Il ne faut toutefois pas confondre une intolérance avec une allergie. Le message de l’organisme face aux allergies alimentaires est clair. Lorsqu’un organisme se trouve confronté à un aliment allergisant, une réaction immédiate et visible se manifeste : œdème de Quincke, urticaire, vertiges, syncope…

Les intolérances alimentaires sont en revanche moins faciles à détecter car la réaction peut intervenir plusieurs heures après l’ingestion de la substance. Elles créent une inflammation et une porosité intestinale pouvant donner des symptômes qui se manifestent à différents niveaux : respiratoire (une otite, un rhume des foins…), intestinal (des ballonnements, de la diarrhée, de la constipation…), cardiovasculaire (de l’hypotension, des palpitations…), cutané (de l’acné, de l’eczéma…).  Ou encore des migraines, des vertiges, de l’hyperactivité, une perte de mémoire… De nombreuses voix dans le domaine médical s’élèvent à l’exemple de celle du docteur Seignalet pour pointer les intolérances alimentaires comme l’une des causes essentielles de maladies.

Et puis il existe les discordances alimentaires, qui sont liées à des aliments qui sont censés  nous faire du bien, mais qui en réalité perturbent notre organisme. C’est le cas du sucre, du sel, et des vitamines (B, C, A, E etc)… difficiles à métaboliser, elles créent des carences et provoquent des troubles physiques ou psychiques (boulimie, dépression, fatigue…)

Le problème de l’intolérance alimentaire peut cependant rester caché pendant une longue période. Notre organisme peut trouver le moyen de le contourner pendant longtemps.  Jusqu’au moment où il n’y arrive plus ! L’intolérance alimentaire peut apparaître alors à différents moments de la vie. Elle peut se déclarer  à la suite d’un choc émotionnel, à la ménopause ou à l’occasion d’un changement de vie .

De nos jours les intolérances alimentaires se multiplient, comme si notre organisme étant surchargé avait les plus grandes difficultés à les gérer. « La pollution, les ondes wifi, la radioactivité des  écrans d’ordinateur affaiblissent notre organisme qui aura donc moins de force pour s’adapter à une alimentation qui ne lui convient pas ».

« QUE TON ALIMENT SOIT TON MÉDICAMENT » (HIPPOCRATE) N’A JAMAIS ÉTÉ AUTANT D’ACTUALITÉ.


Quand l’intestin va, tout va !

Nous avons vu dans un article précédent, que les milliards de bactéries présentes dans notre intestin transforment, assimilent, et éliminent ce que nous nous ingérons. Tout déséquilibre chronique aura, à plus ou moins long terme, des conséquences parfois irréversibles. Par exemple, la prise d’antibiotiques et la consommation d’aliments sucrés peut favoriser le développement des candidas albicans,  qui, en surnombre, peuvent perturber notre organisme et nos comportements alimentaires. Réclamant plus de nourriture, ils nous conditionnent à être plus attirés par les produits sucrés et le chocolat. Cela provoque des coups de pompes et les fameuses crises de boulimie. Comment sortir de ce cercle vicieux?

IL EXISTE DES MÉTHODES ÉNERGÉTIQUES DE DÉTECTION, DE DÉPROGRAMMATION ET DE REPROGRAMMATION CELLULAIRES.

La méthode NAET* par exemple, a fait ses preuves depuis des décennies, mais c’est une méthode qui peut demander beaucoup de temps . Il y a également la méthode JMV* qui permet de déterminer l’origine d’un problème structurel, nutritionnel ou émotionnel grâce à des tests neuromusculaires. En interrogeant le corps, on observe les réponses de l’organisme. La méthode permet de corriger les perturbations, sources des problèmes physiques ou émotionnels et de redonner au corps sa capacité d’auto guérison. Cette méthode permet de donner une nouvelle information aux cellules, une sorte de mise à jour, de « reset » comme on le ferait d’un ordinateur, afin de redonner à notre organisme son plein potentiel, pour permettre l’auto guérison de tous nos corps subtils.

La Méthode JMV est une synthèse de thérapies et techniques traditionnelles  récentes, telles que la médecine traditionnelle chinoise, la kinésiologie, l’ostéopathie, l’hypnose, les mouvements oculaires, et des récentes découvertes sur la médecine quantique. Cette méthode vise à chercher les causes d’un problème physique ou émotionnel et à corriger les perturbations pour permettre à l’organisme de s’auto guérir.

Avec ce procédé, on peut déprogrammer en quelques séances une intolérance alimentaire qui dure parfois depuis des années. Il semblerait que l’on puisse également se libérer d’émotions refoulées et de blocages énergétiques entretenus par notre environnement (ondes Wifi, métaux lourds, conflits psychologiques).Une fois l’intolérance levée, le thérapeute formé à cette méthode, reprogramme l’organisme pour qu’il puisse à nouveau fixer certaines vitamines, minéraux et qu’il puisse s’adapter sans stress, aux situations qui le perturbait.


Tout est fréquence, et tout est information.


Cette méthode, après avoir renforcé l’énergie des organes, permet de donner une nouvelle information aux cellules. C’est comme si vous faisiez une « mise à jour » de votre ordinateur. Vous éliminez « les bugs » et vous permettez à votre corps physique et émotionnel de s’auto-nettoyer en permanence. Cette méthode vous permet de recontacter votre système inné d’auto guérison.

Je l’ai testé il y a un mois et demi maintenant. Vous pensez bien que j’avais beaucoup d’intolérances alimentaires, mais aussi des intolérances que je ne pouvais pas imaginer : intolérance à la vitamine A, à tous les sucres, aux amidons, à la caséine mais pas au lactose, aux sulfites, au soleil etc. comment voulez-vous détecter en biologie ce type de réaction ?

On comprend mieux pourquoi certaines personnes peuvent être végétariennes, végétaliennes, manger paléo etc. je le dis et je le répète : tout le monde ne peut pas manger la même chose! Ce type de méthode nous permet de mieux cerner ce qui peut nous poser des problèmes et d’agir de façon préventive.

J’ai donc pu boire un peu de champagne lors d’un anniversaire sans en être affectée et j’ai même, après la 2e séance, consommé un petit crumble au gluten sans qu’il ne me torde les boyaux!

Mais restons vigilants ! Même si vous déprogrammez une intolérance au gluten, au sucre ou aux produits laitiers, je vous conseille de n’en consommer qu’épisodiquement, car ils demeurent des produits incompatibles avec l’être humain.


Jean-Marc Vergnolle acupuncteur ostéopathe de formation, atteint dans l’enfance, de rhumatismes articulaires aigus déformants, rhume des foins depuis 25 ans, problèmes intestinaux invalidants depuis l’enfance, syndrome de Raynaud… Malgré l’aide apportée par les diverses thérapies (allopathie, homéopathie, hypnose, acupuncture, psychothérapie…) Il décida de chercher lui-même les causes de ces problèmes. Il s’est aperçu que l’essentiel était dû à des intolérances alimentaires, ce qui lui à permis de régler définitivement ces problèmes et de créer une méthode énergétique, capable d’aider l’organisme à s’auto guérir.

Il consulte à Paris et à Montpellier et organise des formations plusieurs fois par an

Méthode JMV  Jean Marc Vergnolle 06 11 57 75 29

www.autoguerison.com

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